Cher journal

Admin@ariane18

23 juillet 2018

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Le journal intime de Phil d’Ariane

Cher journal,

Je suis perdu dans cette vaste étendue provençale que je ne connais pas. Mais je tombe amoureux une fois par jour. Une plage, une montagne, une vue… Tout est beau ici alors j’ai décidé de me balader. Partout. Tout le temps. Et le mieux que je puisse dire, c’est que j’ai eu raison. Entre deux séjours à Istres et Fos-sur-Mer dans les hôtels du groupe Ariane, je suis parti en visite.

J’ai commencé mon périple à Arles. Entre deux piqures de moustiques, j’ai pu profiter des photos géantes disposées sur les murs pour un grand festival, international à ce qu’il paraît. Les rencontres d’Arles comme les arlésiens l’appellent. Quelle beauté ! Tout le monde est en émoi autour de ces merveilles et les visiteurs viennent de partout dans le monde pour trouver un cliché loin des clichés. Rendez-vous est pris pour revenir faire la fête ici au mois de Septembre lors des férias. Avec des taureaux lancés dans les rues, j’aurai moins le temps de flâner…

La ville, est un mélange de terrasses pleines de jeunesse et de rues remplies d’Histoire. Un buste de Jules César, une rencontre, des arènes, un apéritif au soleil : tous les éléments sont en place pour s’y plaire. N’ayant pas tout mon temps mais ayant beaucoup apprécié les vins de la région, je décide de partir faire le tour des domaines viticoles aux alentours.

Même si la modération est de mise, je ne peux pas quitter cette région sans en avoir goûté toutes les saveurs. Et là, c’est comme au feu d’artifice. Oh la belle rouge, oh le bon blanc ! Heureusement qu’un chauffeur m’accompagne car les élixirs divins que l’on me sert de maison en maison sont tous plus exquis les uns que les autres. Mas de Rey, Mas de Valériole, Mas Baracan : tous ces mas s’amassent et me font repartir les mains pleines pour les offrir et les faire déguster à mon entourage.

Après la tournée des grands ducs, je dois me rafraîchir et me rends aux bords de l’étang de Berre. L’air est chaud, l’eau est bleue, la situation idéale pour respirer la Provence. Je me mets en tête de plonger et de tenter de rallier les 16 kms de large mais quelques mètres suffisent à mon bonheur et à mon corps.

Je rentre doucement vers mon hôtel en m’arrêtant par-ci par-là pour acheter quelques souvenirs aux artisans du coin. Une poterie puis une sculpture puis un tableau… Avec les bouteilles de vin, je pense déjà à l’excédent bagages quand je vais rentrer chez moi. Mais j’aurais pris de la Provence plein les yeux et plein les valises!

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